Le programme pour le secondaire: Présentation générale du secondaire par M. le proviseur :Salle Fayolle : 11h15 et 14h30 Présentation des enseignements de 10H00 à 16H00: 1 - Enseignements de spécialité (voie générale)• Langues, littérature et cultures étrangères :...

Les classes préparatoires vue de l’intérieur par nos anciens étudiants. Leurs conseils, leur bilan.
Je n’ai jamais vraiment su ce que je voulais faire plus tard et je n’ai jamais aimé faire des choix. Décider d’aller en classe préparatoire littéraire m’a permis de ne pas choisir entre les matières que j’aimais étudier, en particulier l’histoire et la philosophie, de ne pas choisir tout de suite une voie professionnelle, de ne pas choisir entre plaisir et excellence… Malgré mes études de lettres, les mots me paraissent insuffisants pour exprimer ma reconnaissance envers cette formation. J’aime souvent repenser à l’adrénaline avant de découvrir les sujets, aux madeleines qu’on dégustait en faisant nos versions latines, à nos petites soirées après les concours blancs, aux pauses cafés où on débattait de ce que l’on révisait… Si je devais choisir un mot pour résumer ces deux années, je dirais : intensité. Tout est approfondi et rien n’est laissé en surface. Il était intense d’aller toujours plus loin dans ce que l’on apprenait et de créer de vraies amitiés. Le concours m’a permis d’intégrer le Celsa, première école de communication en France, qui me laisse de grandes portes ouvertes sur l’avenir. Finalement, je peux dire que faire le choix d’entrer en hypokhâgne au lycée Henri Poincaré est le meilleur que j’ai pu faire.

La classe préparatoire littéraire, au lycée Poincaré, m’a apporté tous ce que j’étais venu y chercher. Ces deux ans, où j’ai rencontré des professeurs passionnés et profondément gentils, ont été, pour moi, une véritable partie de plaisir. Au lycée Poincaré, les professeurs montrent un véritable engagement et veillent à la fois à votre progression intellectuelle et à votre bien être. Ces enseignants sont loin de l’image mystifiée des « professeurs cruels » de CPGE qui saquent par pur plaisir d’humilier : non, ces « profs poincariens » portent en eux une touchante bienveillance ! Grace à eux j’ai pu comprendre et intégrer des connaissances et des méthodes qui, je pense, me serviront toute ma vie. A Poincaré, j’y ai aussi rencontré des prépationnaires formidables qui sont devenus des amis. Ensemble nous avons rendu possible l’émulsion improbable entre travail et rigolade. En bref, je garde le souvenir d’un lycée où l’ambiance est bonne et où l’enseignement est vraiment enrichissant. Suite à ma classe préparatoire littéraire au Lycée Poincaré, je me suis tourné vers l’étude de la science politique à l’université de Lille, tout en continuant à distance les Lettres modernes à l’université Paris Nanterre.
Poinca, au revoir et à bientôt.
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Quand je suis arrivé en Classe préparatoire littéraire aux grandes écoles au lycée Henri Poincaré à Nancy, qui aurait pensé que j’allais passer parmi les deux plus belles années de ma vie ? Alors à tous ceux qui m’ont
lancé, « tu verras la prépa, c’est comme une prison », je leur réponds par ces mots. Non, la classe préparatoire n’est pas une prison ; c’est une porte grande ouverte sur l’ailleurs ; c’est un appel permanent à la curiosité ; c’est un enrichissement de tous les instants, tant intellectuel qu’humain. Car la classe préparatoire, ce n’est pas « s’enfermer dans sa chambre et lire des livres », c’est s’ouvrir au monde pour mieux le comprendre, c’est explorer l’inconnu pour mieux se trouver, c’est tester ses limites pour mieux se connaître. C’est aussi faire des rencontres, tisser des liens et se construire une nouvelle famille. C’est rire, sourire, s’émerveiller et essayer de rester sérieux. Car non, la prépa ce n’est pas « s’arrêter de vivre pendant deux ans », bien au contraire, c’est apprendre la vie pour mieux en jouir.
Pour tout cela, et alors que je viens fraîchement d’entrer au CELSA, je ne peux dire qu’une chose : merci Poinca.

Dès le collège, on m’a conseillé d’intégrer une CPGE, et pour cause, je lisais des classiques tous les jours ! J’ai donc suivi ces conseils, et ai intégré les rangs des élèves de Poincaré il a de cela bien longtemps, en 2022. Je suis venue ici pour la spécialité cinéma, car je ne savais pas trop quoi faire, je me sentais un peu perdue, mais l’art m’attirait. J’ai donc passé deux années à étudier, à apprendre, à rencontrer de nouvelles personnes, et à faire de mon mieux. J’ai fait ma khâgne en LSH, et avec des professeurs qui nous tiraient vers le haut, et nous aidaient à donner le meilleur de nous-mêmes. En octobre 2023, j’ai pris la décision de préparer le concours de l’École du Louvre. Je savais que je voulais étudier l’art, et surtout, je savais que le format universitaire ne me conviendrait pas. J’ai donc passé cet examen avec une amie, et avec l’aide de Monsieur Proquin, qui était très encourageant. Je n’ai néanmoins pas abandonné ma préparation du concours de l’ENS. Nous avons, bien heureusement, toutes les deux été prises à l’Ecole du Louvre ! J’y suis des cours depuis la rentrée 2024, et je ne suis donc qu’en première année. Je suis en spécialité Archéologie égyptienne, et j’étudie les hiéroglyphes, mais ce n’est, bien entendu, qu’une spécialité parmi les 31 disponibles à l’Ecole. Je pensais ainsi avoir perdu deux ans de ma vie en CPGE, me disant que j’aurais dû intégrer l’Ecole du Louvre dès la sortie du lycée. Le temps m’a rapidement prouvé le contraire. Tout d’abord, je suis également inscrite en L3 de Lettres modernes et mineure Anglais à la Sorbonne Nouvelle, chose que je n’aurais jamais pu faire si je n’avais été à Poincaré. Ensuite, pour ce qui est de l’Ecole du Louvre, il y a de NOMBREUX examens dissertatoires, qui certes, ne durent pas 6h, mais pour lesquels j’apprécie la méthode acquise en prépa. Nous avons également des examens oraux, pour lesquels les khôlles de ces deux dernières années se sont avérées très utiles, même si, sur le moment, j’avais plutôt hâte d’en finir. Je ne peux donc qu’insister sur l’importance de faire une classe préparatoire si l’on se destine à l’Ecole du Louvre, en spécialité d’histoire de l’art si possible, mais cela ne change pas grand-chose. Cela donne une technique, une méthode, une discipline. Je ne le recommanderais cependant pas de faire une CPGE à quelqu’un qui n’aime pas travailler dur, se dépasser, et oui, parfois se lever à 5h du matin un jour de concours blanc pour réviser…
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J’ai toujours eu un goût prononcé pour la littérature française et espagnole et les humanités, c’est donc naturellement que je suis entrée en classe préparatoire littéraire après les années lycée. En khâgne, puis en khûbe (A/L), je me suis spécialisée en espagnol. Ces trois années m’ont permis d’acquérir un vaste bagage culturel, d’approfondir de nombreuses disciplines tout en me perfectionnant en langue, littérature et civilisation espagnoles.
Je garde un bon souvenir de ces trois années exigeantes mais rendues plus agréables par la bienveillance de l’équipe éducative du lycée Poincaré. Aujourd’hui, le travail de classe préparatoire porte ses fruits : mes résultats aux concours m’ont permis d’intégrer un Master à Sorbonne Université, dans lequel je m’épanouis pleinement.
Plus qu’une méthode de travail ou des connaissances supplémentaires, la classe préparatoire m’a aidée à mûrir et à mieux me connaître. Elle m’a surtout permis de découvrir ce qui m’anime réellement : l’enseignement et la recherche en littérature espagnole du Siècle d’Or !

Après avoir eu mon baccalauréat (Mathématiques / Physique-Chimie), j’ai intégré la classe préparatoire PCSI de Poincaré, où j’ai fait deux années avant d’intégrer l’École Nationale Supérieure de Chimie de Paris (ENSCP), aussi appelée Chimie ParisTech. Le lycée Henri Poincaré a été pour moi le cadre parfait pour ces deux années difficiles. L’environnement est chaleureux, le personnel est bienveillant, et tout est fait en sorte pour mettre les étudiants dans les meilleures conditions.
Il est possible de travailler, faire du sport, se reposer, que ce soit seul ou entre amis. Loin des stéréotypes des classes préparatoires, l’entraide prime bien devant la compétition, tout le monde est là pour progresser côte à côte. Mention spéciale à l’internat (j’ai été interne les deux ans), qui en plus d’être très pratique (à quelques mètres des salles de cours, ouvert les week-ends, salle de cuisine…), m’a permis de me faire des amis de longue date et d’être pleinement concentré dans mes études. Finalement, la CPGE PCSI/PC* de Poincaré aura été une formidable expérience tout du long, j’en remercie l’ensemble du personnel m’ayant permis de m’épanouir lors de ces deux années.

Depuis le collège, je veux devenir professeur ou chercheur en chimie. C’est pourquoi j’ai décidé d’intégrer une classe préparatoire PCSI puis de poursuivre en PC, dans le but d’intégrer soit une ENS, soit une grande école en chimie.
Pendant mes trois années à Poincaré, j’ai eu la chance de recevoir des cours extrêmement intéressants de la part de profs à la fois passionnés par leurs disciplines et très compétents. En plus de cela, il régnait dans la classe une ambiance amicale et un esprit d’entraide, en particulier entre ceux qui restaient travailler dans les salles de l’école le soir.
J’ai finalement intégré l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier (ENSCM), dans laquelle je découvre de nouveaux domaines de la chimie et continue à me perfectionner dans ceux que je connais déjà. L’école a un gigantesque réseau et une très bonne réputation dans le domaine de la chimie, ce qui permet à tous les élèves de trouver des stages qui leur plaisent. Enfin, il existe dans l’école assez de clubs pour occuper son temps libre et créer des liens avec les autres élèves.
Profitez bien de toutes vos années de prépa et forgez des liens solides avec les autres taupins 😉 !

Au lycée, j’appréciais les mathématiques et l’économie, je souhaitais continuer d’étudier ces matières à un niveau assez exigeant, mais je ne savais pas ce que je voulais faire plus tard. Par conséquent, j’ai opté pour une classe prépa ECG. En ce qui concerne les cours dans cette filière, ces derniers sont de très bonne facture. Les enseignements sont assez rigoureux, stimulants, mais accessibles pour qui s’en donne la peine (notamment l’ESH, pour celles et ceux qui n’ont jamais fait d’économie auparavant). De plus, la diversité des matières étudiées (mathématiques, économie, histoire, sociologie, philosophie, lettres et deux langues vivantes) permet de varier les plaisirs !
La charge de travail est honnête : suffisante pour ne pas s’ennuyer, mais pas non plus écrasante ; personnellement, j’avais le temps de faire du sport, de lire et d’aller régulièrement au cinéma.
Toutefois, là où je trouve que la prépa ECG du lycée Henri Poincaré tire son épingle du jeu, c’est au niveau de la qualité du corps enseignant. Les professeures et professeurs s’investissent réellement dans la réussite de leurs élèves, font preuve d’une grande bienveillance et de pédagogie. À titre d’exemple, pour me permettre d’atteindre mes objectifs, de nombreux cours et khôlles supplémentaires, adaptés aux oraux que je préparais, m’ont été proposés.
D’autre part, l’ambiance de classe est très agréable, l’entraide règne et l’esprit de compétition est marginal. Il est également bon de noter le rôle bienveillant de l’administration du lycée.
Enfin, il me semble important de préciser que l’intégration d’une école de commerce après une prépa ECG n’est absolument pas une fatalité : d’autres options existent (ENS Saclay et ENSAE, entre autres).
Ainsi, après 3 années de prépa ECG, je suis aujourd’hui élève ingénieur à l’ENSAE, une école spécialisée dans la statistique et dans l’administration économique.
En somme, merci Poinca !

Arrivé en prépa BCPST, j’avais pour idée d’aller en école Véto, cependant je me suis vite rendu compte que je n’arriverai pas à me motiver pour apporter le travail nécessaire à ma réussite. Néanmoins, la géologie était un domaine qui m’attirait, je ne savais pas ce que j’allais y faire ni quelles écoles étaient disponibles, mais je savais que la BCPST me permettrait d’aller dans ces domaines.
Grâce au corps professoral qui accompagne les élèves dans leur projet et aux nombreuses conférences d’anciens élèves venant présenter leur parcours, j’ai pu affiner mes idées au cours de mes années. Désormais, je suis entré à l’EOST sur le campus de Strasbourg, une école d’ingénieur en géophysique. C’est une école qui forme sur des domaines très larges autour des géosciences, allant d’ingénieurs pour les sols, aux ingénieurs intéressés par les risques naturels ou l’énergie en passant aussi par le domaine spatial et la géologie des planètes. Ainsi c’est une école qui ouvre à de nombreuses possibilités en plus de pouvoir faire des double-diplômes, des masters ou des doctorats. La vie étudiante et les nombreuses asso du campus sont un grand plus qui permettent de rattraper les années de prépa.
Je terminerai par dire que même si les années étaient difficiles, le choix de la prépa était le bon et que Poinca reste un bon souvenir.

Je suis un ancien élève de MPSI/MP, à présent élève en cycle ingénieur à l’ESTIA à Bidart (64) et je dois dire que je ne m’attendais pas à être reçu de cette façon. En effet, le lycée Henri Poincaré apporte un vrai plus sur le suivi des élèves et leur bien-être, la prépa étant très difficile, c’est agréable de pouvoir compter sur une équipe de professeurs et de membres de la direction qui sont autant à l’écoute. Je me suis senti tout de suite écouté et aidé lorsque j’en avais besoin ! Encore un grand merci pour votre soutien et si j’ai l’occasion de repasser par Nancy, je reviendrai avec plaisir revoir cette école.

Je suis très heureux et fier d’avoir intégré l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile dans la filière pilote de ligne. Je passe actuellement la phase théorique du pilote de ligne, une formation d’un an avant de partir en formation pratique et ainsi pouvoir voler. C’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé et ce grâce à l’ensemble des professeurs du lycée Henri Poincaré envers qui je suis très reconnaissant. Cette école constitue une véritable référence européenne dans l’aéronautique. La classe préparatoire représente pour moi un élément majeur dans mon parcours scolaire, celle-ci m’a apporté une véritable méthode de travail, que je continue d’utiliser encore aujourd’hui. Elle m’a confronté à mes limites, parfois des moments difficiles mais en s’accrochant les efforts finissent par payer. J’ai pu y faire de formidables rencontres, amis, professeurs, personnel du lycée. J’ai beaucoup apprécié les conditions de travail au lycée Henri Poincaré, on pouvait ressentir un véritable sentiment d’entraide et de solidarité et non de compétitivité toxique, ce qui m’a pleinement aidé pour les concours.
J’invite toute personne à se lancer dans cette passionnante expérience.
En remerciant tout le personnel du lycée Henri Poincaré,

Au lycée, j’ai beaucoup hésité entre CPGE et médecine. J’ai finalement choisi de me diriger vers la CPGE du lycée Henri Poincaré pour la qualité de la formation scientifique. Et je ne regrette absolument pas ! J’ai passé 2 enrichissantes années, qui sont passées très vite et d’un haut niveau académique. J’ai eu la chance aussi d’être dans des classes très conviviales, particulièrement entre internes et internes externés. Les professeurs sont par ailleurs très compétents et aussi très souvent bienveillants envers les élèves. La charge de travail est élevée et le début de la 2ème année particulièrement peut s’avérer rude, mais une fois qu’on adopte le rythme de travail, la formation est gratifiante et permet d’atteindre un très bon niveau. A la fin des concours, j’ai décidé d’intégrer CentraleSupelec pour son ouverture internationale et la possibilité de s’orienter dans le biomédicale. J’ai donc choisi les cours de physique et de biologie disponibles et je suis une licence de physique fondamentale en parallèle à l’université Paris Saclay, dans le but de m’orienter à l’interface entre la médecine/ biologie et la physique.

Je m’appelle Léna, j’ai 21 ans, et j’ai passé mon année de khûbe en classe préparatoire ECG au lycée Henri Poincaré, qui s’est conclue par mon admission à l’ESSEC Business School.
Après deux années de classe préparatoire en région parisienne, je n’étais pas satisfaite de mes admissions. Après une longue réflexion, la meilleure option pour moi était de khûber au lycée Henri Poincaré. En effet, étant originaire de Nancy, intégrer Poincaré m’a permis de rentrer chez moi tous les soirs, bénéficiant ainsi du soutien moral quotidien de ma famille. Cette proximité m’a offert une claire distinction entre l’univers scolaire, intense en journée, et l’univers familial le soir, un équilibre qui m’a fait beaucoup de bien après deux ans loin de chez moi. De plus, je connaissais des anciens camarades de lycée ayant fait leur prépa à Poincaré, et leurs retours élogieux, ainsi que leurs excellentes intégrations, m’ont convaincue de faire confiance à cette prépa.
J’ai passé une très belle année à Poincaré : dès mon premier jour, mes camarades de classe m’ont accueillie comme l’une des leurs, et l’ambiance chaleureuse et solidaire de la classe s’est maintenue tout au long de l’année. Ce climat de bienveillance ne se limitait pas aux élèves : les professeurs étaient à l’écoute et attentifs aux besoins de chacun. Plus encore, ils étaient très disponibles, ouverts à toute question, toute demande de travail en plus, et prêts à proposer des DS et des khôlles adaptés à mes ambitions. Je pense que cette approche individualisée associée à un cadre chaleureux a été la clé de ma réussite aux concours. D’ailleurs, ce climat de bienveillance dépassait la salle de classe : tout le personnel du lycée, de l’infirmière jusqu’au proviseur, a toujours fait preuve d’une gentillesse et d’une disponibilité qui m’ont beaucoup aidée et rassurée.
En tant que khûbe, cette année m’a aussi permis de prendre du recul sur mes connaissances de 3/2, tout en les approfondissant pour mieux les maîtriser et les mobiliser aux concours. Avec cette prise de recul, mon niveau a progressé de manière exponentielle au fil des mois, de telle sorte qu’à l’arrivée des concours, je me sentais prête.
En une phrase, cette année de khûbe à Poincaré n’a pas été une simple redite, mais une véritable opportunité de progression, qui m’a non seulement menée vers l’école que je visais, mais aussi permis de devenir confiante en mes capacités.

En arrivant en prépa, je savais que je voulais devenir ingénieure… Mais j’hésitais encore beaucoup entre les nombreuses écoles disponibles après BCPST ! L’approche généraliste et l’accompagnement pédagogique poussé de la prépa m’ont permis de construire un projet professionnel plus concret. Aujourd’hui je suis à l’Institut Agro Renne-Angers, sur le campus d’Angers, spécialisé dans l’horticulture et le paysage. Je me forme sur des sujets diversifiés, tels que l’écologie, l’éco-politique, la gestion des paysages, la génétique ou encore l’agronomie. La riche vie associative de l’école et son dynamisme me prouvent que la prépa était le bon choix: c’est une clé pour accéder à des écoles fantastiques.

Ayant toujours aimé les matières scientifiques, tel que les mathématiques et la physique chimie, j’ai choisi de m’orienter dans ce domaine. Je suis donc entrée en classe préparatoire au lycée Henri Poincaré (PCSI-PSI). Mon objectif était de rentrer à l’ENAC en tant qu’élève pilote de ligne.
J’ai choisi le lycée Henri Poincaré pour son excellence mais aussi pour sa proximité avec le lieu d’habitation de mes parents.
Ces deux années m’ont appris rigueur, organisation et persévération. Beaucoup de cohésion entre étudiants était présente malgré le rythme soutenu. Les profs étaient à notre écoute et toujours présents pour nous aider et répondre à nos demandes personnalisées. Mes profs m’ont particulièrement aidé à préparer le concours EPL S ENAC qui diffère des concours tel que CCINP, Mines Ponts, Centrale…
Les clichés, tel que l’esprit compétitif entre étudiant, se sont vite effacés pour laisser place à une ambiance agréable pour travailler.
Je retiens, de ces années de lycée et de classe préparatoire au Lycée Henri Poincaré, que des bonnes choses !

Depuis le collège je suis passionné par le monde de l’informatique et des réseaux, je savais déjà que je voulais travailler dans ce domaine. En classe de première, après ma visite du CEA de Bruyères-le-Châtel, j’ai décidé de me spécialiser en cybersécurité. J’avais dès lors décidé que je souhaitais faire la meilleure école en cybersécurité. Après m’être renseigné je me suis rendu compte que pour avoir la meilleure carrière dans ce domaine, il faut faire une grande école d’ingénieur. J’ai donc rejoint le lycée Henri Poincaré en CPGE PCSI/PSI afin de tenter ma chance aux concours d’entrée aux grandes écoles d’ingénieur. Ma première tentative ne m’a pas permis d’intégrer une grande école, voilà pourquoi j’ai retenté le coup en faisant une 5/2.
J’ai alors intégré Télécom SudParis une école dans le top 15 de France et membre de l’Institut Polytechnique de Paris et de l’Institut Mines Télécom, c’est également l’une des meilleures écoles en cybersécurité. Mon passage à Henri Poincaré s’est très bien passé, surtout en 3ème année, la 1ère année était intense mais j’ai su m’adapter. La chose que je pourrais partager est qu’il ne faut jamais lâcher, mes notes ont très longtemps été basses, elles n’ont explosé qu’en 3ème année. Surtout il faut tout donner et ne pas hésiter à travailler en groupes.
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Très tôt, j’ai su que je voulais travailler dans le monde du livre. Je ne me voyais pas autrice, mais plutôt dans les coulisses de la publication, et je me suis rapidement intéressée aux mondes de l’édition et de la traduction. Même si j’étais particulièrement intéressée par cette dernière, il était important pour moi de ne pas me spécialiser directement après le lycée. La prépa littéraire était donc une belle option, qui me permettait de toucher à tout et d’explorer la littérature sans me fermer trop de portes. En terminale, j’ai découvert l’Ecole Supérieure d’Interprètes et de Traducteurs (ESIT), et décidé que je devais absolument intégrer une CPGE pour réussir son concours d’entrée.
Je n’ai pas regretté mon choix. La classe préparatoire du lycée Poincaré m’a apporté tout ce que je recherchais : une méthode de travail rigoureuse, des professeurs passionnés et investis, qui m’ont soutenue dans mon projet, mais aussi et surtout un environnement propice à la réussite. J’ai d’ailleurs choisi de khûber plutôt que de faire une troisième année de licence en langues. Les langues vivantes étaient les matières les plus importantes pour moi au vu de mon objectif, mais j’ai apprécié la diversité des enseignements offerte par la prépa, qui a satisfait ma curiosité, et m’a permis de me construire une bonne culture générale. Une culture qui me sert beaucoup aujourd’hui, dans la suite de mes études !
Le concours d’entrée à l’ESIT ne se passe qu’après un bac +3, c’est pourquoi au terme de ma deuxième année de prépa, j’ai profité du concours pour m’essayer aux écoles de commerce. J’ai passé les écrits, les oraux, et envisagé d’intégrer l’EM Strasbourg où j’étais acceptée. Je suis reconnaissante d’avoir pu envisager cette autre possibilité, qui m’a finalement confortée dans mon choix de poursuivre la traduction.
Après trois ans, j’ai pu passer le concours d’entrée à l’ESIT, que j’ai réussi. C’est une formation très exigeante, ce qui se ressent dans la charge de travail ; la prépa m’a donc préparée à la formation elle-même, et pas seulement au concours d’entrée. L’ESIT répond à mes attentes en m’apportant la théorie du métier de traductaire, mais aussi les outils nécessaires pour l’exercer : un stage obligatoire, un réseau, et des conseils donnés par nos professeurs, qui sont aussi des traductaires en exercice.
Réussir une classe préparatoire et un concours n’est pas seulement une grande fierté, c’est une expérience qui ouvre énormément de portes et nous donne les clés de la réussite.

Mon attrait naturel pour la littérature, la philosophie, l’histoire et les langues m’a conduit presque naturellement à choisir une prépa littéraire au lycée Henri Poincaré. À vrai dire, je n’envisageais rien d’autre : je savais que cet environnement académique m’offrirait un bagage culturel dense et précieux. De plus, ma mentalité hautement compétitive faisait écho à l’exigence et au rythme de travail propres à la prépa. Je savais que je serais plus performant aux concours que durant les deux années elles-mêmes – ce qui s’est effectivement vérifié.
En arrivant, mes attentes étaient élevées, presque vertigineuses. Je voulais une formation unique, capable d’aller au-delà de ce qu’on peut trouver ailleurs. Ce niveau d’excellence est rendu possible par des professeurs exceptionnels. À Poincaré, ces enseignants ne sont pas de simples transmetteurs de savoir : ils investissent profondément dans la réussite de leurs élèves, qu’ils voient (pardonnez l’expression) comme leurs « poulains ». Certains d’entre eux ont même surpassé mes espérances. Leur enseignement et leurs méthodes me marquent encore aujourd’hui, dans une formation pourtant très différente, et je garde un souvenir vif de leur bienveillance et de leur engagement.
Cependant, la prépa, ce n’est pas que l’apprentissage : c’est aussi les rencontres. Si j’ai une mentalité compétitive, cela ne signifie pas que je voyais mes camarades comme des adversaires – bien au contraire. J’ai trouvé en eux des esprits brillants, des personnalités riches, et surtout des amis que je souhaite garder aussi longtemps que possible. Ces relations sont uniques, car elles se construisent dans un contexte oùMes amis de prépa ont placé des standards d’amitié, de respect et d’entraide incroyablement hauts, et je serais honoré de pouvoir les fréquenter tout au long de ma vie.
Les concours, bien sûr, sont l’aboutissement de ces deux années. En tant que littéraire, j’ai eu la chance d’être préparé à des épreuves comme celles de la BCE. Grâce à cela, j’ai pu intégrer l’EM Lyon, alors classée 2ᵉ meilleure école de commerce en France selon L’Étudiant et 4ᵉ selon le Financial Times. Cette réussite n’aurait jamais été possible sans le soutien des professeurs, de mes camarades et de l’ensemble du personnel du lycée.
À ceux qui hésitent encore, voici ce que je crois : l’adage « la prépa, ce n’est pas pour tout le monde » ne s’applique pas au lycée Poincaré. Si les professeurs vous acceptent, c’est parce qu’ils voient en vous les capacités nécessaires pour réussir. Et vous réussirez, grâce à leur accompagnement, à vos efforts et à cette incroyable dynamique de camaraderie qui règne ici. Peu de lycées préparatoires offrent un tel cadre.

Avant d’arriver à Poincaré, je ne connaissais la « classe prépa » que par ouï-dire et à travers des témoignages d’anciens élèves que je glanais sur Internet… Je ne savais pas trop dans quelle discipline littéraire je voulais me spécialiser, et ma professeure de français de première m’avait conseillé d’aller en CPGE pour me laisser des portes ouvertes et ne pas me cantonner trop vite dans une seule discipline.
Les deux années de classe prépa que j’ai passées à Poincaré ont été un moment exceptionnel d’apprentissage et de découverte des lettres et des humanités. Dès la première année, la possibilité de couvrir une grande variété de matières, allant des langues anciennes à la géographie en passant par l’histoire, la philosophie, etc. m’a permis d’acquérir des connaissances extrêmement utiles aujourd’hui, dans le cadre de mon master, et de m’ouvrir des horizons intellectuels nouveaux. Je n’aurais jamais pensé me spécialiser en anglais avant d’entrer en prépa, et pourtant voilà que je suis maintenant étudiant en littérature américaine !
La qualité des enseignements et surtout l’enthousiasme des professeurs est un énorme plus, qui démarque Poincaré des autres classes préparatoires de la région et, peut-être même, de France. Contrairement aux « grosses prépas » parisiennes, l’accompagnement des élèves est extrêmement ciblé, les effectifs assez réduits (surtout en khâgne A/L), la pression mise sur les élèves n’est pas insurmontable (on ne finit pas avec un ulcère en fin de khâgne… même s’il n’est pas question de se rouler les pouces !), le concours et les ENS ne sont pas les seules perspectives offertes aux préparationnaires, etc.
Sans cet environnement intellectuel extrêmement vivifiant, je n’aurais pas pu intégrer l’ENS à la fin de ma deuxième année de khâgne. Pour toutes ces raisons, je reste encore très attaché au souvenir deux années passées à user le vieux parquet de Poincaré ! Je pense parfois avec nostalgie au plaisir que j’avais à aller en classe ou à réviser mes cours !

Passer trois ans en classe préparatoire MP au lycée Poincaré a été une expérience exigeante mais extrêmement enrichissante. J’ai pu compter sur un fort accompagnement des équipes pédagogiques qui s’adaptent à chaque profil pour nous permettre d’atteindre au mieux nos objectifs.
A l’époque, je ne savais pas encore précisement ce que je voulais faire, mais mon intérêt pour les mathématiques m’a guidée vers la MPSI. Aujourd’hui, je suis très heureuse de poursuivre mon parcours à l’ENSGSI à Nancy pour devenir ingénieure dans le domaine des jeux de société. Ces années au lycée Poincaré m’ont permis d’acquérir une base solide pour atteindre mes objectifs, même ceux que je n’avais pas encore envisagés au départ.
Membre de l’association Elles Bougent, je tiens à encourager davantage de filles à rejoindre les classes préparatoires scientifiques où elles ont parfaitement leur place.

Durant mon lycée, j’étais tiraillée entre l’envie de faire des sciences humaines et ma fascination pour la physique. Mais c’est finalement cette curiosité insatiable pour le monde de l’infiniment grand et de l’infiniment petit qui m’a poussé à aller en classe préparatoire maths physique (MPSI-MP) : c’était décidé, je voulais être astrophysicienne.
J’ai choisi le lycée Henri Poincaré non seulement pour sa proximité, mais surtout pour sa réputation d’excellence. Cette formation exigeante est aussi une expérience unique. On apprend à faire des maths (des vraies), à se discipliner, on repousse ses limites et on se surprend à fournir une quantité de travail dont on ne se pensait pas capable. Même si cela fait peur au début, qu’on a l’impression de ne pas être à sa place, on s’habitue rapidement à la cadence (au moins un DS et deux colles par semaine, youpi) tous ensemble et on finit (presque) par apprécier. Selon moi, le légendaire esprit de compétition et l’impitoyabilité des professeurs ne sont plus d’actualité. Ils ont au contraire laissé place à l’entraide et à la bienveillance tout en gardant un niveau d’exigence important. C’est d’ailleurs ce qui m’a le plus marqué en prépa : la qualité d’enseignement. Mes professeurs ont toujours été à l’écoute de chacun de nous, prêts à nous aider, et leur pédagogie rend les 12 h de maths et les 10 h de physique par semaine plus agréables à suivre. Je m’en rends d’autant plus compte aujourd’hui que je ne suis plus en prépa et que j’assiste à des journées avec 6 h de cours en amphithéâtre donnés par des chercheurs.
Comme je voulais faire de la recherche fondamentale en physique, les écoles d’ingénieurs ne m’intéressaient pas. C’est pour cela que j’ai choisi le Magistère de Physique fondamentale d’Orsay (si vous voulez les ENS en physique mais que vous ne réussissez pas, cette formation est pour vous). C’est une formation exigeante et, contrairement à beaucoup d’écoles d’ingénieurs, il faut travailler. Mais cela n’est pas un problème quand on étudie la relativité restreinte et générale, la physique quantique et statistique ou encore la cosmologie. C’est absolument passionnant. À cela s’ajoutent les nombreuses conférences organisées par l’université ainsi que par l’association d’astronomie et nous recevons de grands vulgarisateurs scientifiques comme Étienne Klein.
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Étant loin de chez moi, j’ai eu la chance de me retrouver à Poinca pendant mes 3 premières années en France.
Poinca est très grand pour que j’aie pu faire connaissance avec mes amis qui viennent de partout en France et au monde, mais il est aussi suffisamment petit pour qu’il n’ait pas manqué des discussions sympathiques entre potes ou des échanges chaleureux avec les personnels de l’école.
C’est aussi en classe prépa à Poinca que j’ai eu l’occasion d’aimer plus les maths, la science et les langues. J’ai appris à rêver les grands rêves et à travailler pour cela. Mais je n’y arriverais pas sans le soutiens incessants des mes profs, mes amis et les personnels de l’école.
Aujourd’hui, je suis à Centrale Supelec mais je porte toujours sur moi la couleur de Poinca !
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Je m’appelle Matthieu, j’ai 21 ans et j’ai intégré l’école d’ingénieurs des Mines de Paris à la rentrée de septembre 2024 après trois années de prépa au lycée Henri Poincaré à Nancy en filière PC.
Pendant ma terminale, je me posais beaucoup de questions sur mon orientation. J’aimais la physique, les maths et même les matières littéraires. Je voulais trouver une formation qui reste assez générale pour me permettre de découvrir plus en détail ces matières et voir ainsi ce qui me plaisait vraiment pour repousser à plus tard mon choix de spécialisation. La prépa m’a donné exactement ce que je désirais : une formation en maths, physique et chimie qui reprenait beaucoup d’éléments des licences de maths, physique et chimie que des amis à moi suivaient. Ceci m’a permis d’acquérir un bon niveau dans ces trois domaines grâce au rythme de travail efficace de la prépa et à l’investissement de mes professeurs qui faisaient leur maximum pour que chacun d’entre nous progresse et donne le meilleur de lui-même.
Pourquoi choisir Henri Poincaré plutôt qu’une autre prépa ? Mes professeurs de deuxième année portaient une attention particulière à ce que chaque élève trouve sa voie, l’école qui lui corresponde le mieux, pas nécessairement la plus prestigieuse. Ils étaient là pour nous aiguiller dans nos choix et nous soutenir dans notre travail. J’ai aussi ressenti une grande entraide entre les élèves, l’ambiance était à la bienveillance, chose qu’on ne retrouve pas nécessairement dans toutes les prépas. Bien entendu, Poincaré est une très bonne prépa qui envoie chaque année bon nombre d’élèves dans les écoles du top 5.
Aujourd’hui, je suis à l’école d’ingénieurs des Mines de Paris, où je réalise dès à présent des projets concrets permettant de mettre à profit mes connaissances apprises en prépa. Enfin, la prépa restera parmi les meilleures années de ma vie. J’y ai rencontré mes meilleurs amis et l’entraide face à la difficulté du travail forge de réelles amitiés.

Pourquoi j’ai choisi la prépa ?
Ingénierie ? Commerce ? N’ayant aucune idée de ce que je voulais faire après le bac, ce sont les deux domaines qui m’attiraient le plus, restait-il encore à faire un choix. Je n’ai pas eu pour vocation de faire une prépa, n’étant pas très travailleur, mes proches et professeurs me déconseillaient même de m’orienter vers cette voie. J’ai finalement choisi d’aller en PCSI au Lycée Henri Poincaré après avoir parlé à une ancienne élève de mon Lycée, qui était actuellement en prépa.
Mon expérience à Poincaré :
Les débuts étaient plutôt difficiles, n’ayant jamais réellement travaillé au lycée, j’ai vite compris qu’il n’en serait pas ainsi en prépa. Les semaines passant, j’ai au fur et à mesure pris goût au travail, en particulier grâce au cadre dans lequel j’étais. En effet, être entouré d’autres élèves brillants m’a motivé à travailler pour devenir encore meilleur. Mais attention il n’est pas question ici d’une sorte de compétition malveillante entre les élèves, en classe et en dehors tout le monde s’entraide pour que chacun puisse tirer le meilleur des autres. J’ai appris à apprécier les cours, et surtout les colles en comprenant que les professeurs n’étaient pas là pour nous enfoncer mais bien pour nous accompagner au mieux.
Je ne retiens que du positif de mes deux années de prépa, au-delà de tout le bagage scientifique et culturel qu’elle m’a apportée, j’y ai appris à travailler et ai rencontré des personnes incroyables.
Maintenant / Futur :
Ayant intégré Centrale Nantes après une première année en PCSI et une seconde en PSI, je me dirige aujourd’hui dans le secteur de la Data Science, et partirai en septembre prochain au Canada, pour y explorer le domaine du Génie Industriel

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