Nos actualités !

Je m’appelle Léna, j’ai 21 ans, et j’ai passé mon année de khûbe en classe préparatoire ECG au lycée Henri Poincaré, qui s’est conclue par mon admission à l’ESSEC Business School.
Après deux années de classe préparatoire en région parisienne, je n’étais pas satisfaite de mes admissions. Après une longue réflexion, la meilleure option pour moi était de khûber au lycée Henri Poincaré. En effet, étant originaire de Nancy, intégrer Poincaré m’a permis de rentrer chez moi tous les soirs, bénéficiant ainsi du soutien moral quotidien de ma famille. Cette proximité m’a offert une claire distinction entre l’univers scolaire, intense en journée, et l’univers familial le soir, un équilibre qui m’a fait beaucoup de bien après deux ans loin de chez moi. De plus, je connaissais des anciens camarades de lycée ayant fait leur prépa à Poincaré, et leurs retours élogieux, ainsi que leurs excellentes intégrations, m’ont convaincue de faire confiance à cette prépa.
J’ai passé une très belle année à Poincaré : dès mon premier jour, mes camarades de classe m’ont accueillie comme l’une des leurs, et l’ambiance chaleureuse et solidaire de la classe s’est maintenue tout au long de l’année. Ce climat de bienveillance ne se limitait pas aux élèves : les professeurs étaient à l’écoute et attentifs aux besoins de chacun. Plus encore, ils étaient très disponibles, ouverts à toute question, toute demande de travail en plus, et prêts à proposer des DS et des khôlles adaptés à mes ambitions. Je pense que cette approche individualisée associée à un cadre chaleureux a été la clé de ma réussite aux concours. D’ailleurs, ce climat de bienveillance dépassait la salle de classe : tout le personnel du lycée, de l’infirmière jusqu’au proviseur, a toujours fait preuve d’une gentillesse et d’une disponibilité qui m’ont beaucoup aidée et rassurée.
En tant que khûbe, cette année m’a aussi permis de prendre du recul sur mes connaissances de 3/2, tout en les approfondissant pour mieux les maîtriser et les mobiliser aux concours. Avec cette prise de recul, mon niveau a progressé de manière exponentielle au fil des mois, de telle sorte qu’à l’arrivée des concours, je me sentais prête.
En une phrase, cette année de khûbe à Poincaré n’a pas été une simple redite, mais une véritable opportunité de progression, qui m’a non seulement menée vers l’école que je visais, mais aussi permis de devenir confiante en mes capacités.